Compte-rendu
de l’Assemblée Générale
du mercredi 04 octobre 2017
Après décompte
des personnes présentes et des procurations, le quorum est atteint et la séance
est ouverte, présidée par le Bureau de l’Association.
Lors de son
introduction, le Président Michel DELAY a remercié de leur présence monsieur le
Maire Gaëtan PREVOTEAU ainsi que monsieur Alain VIALA adjoint délégué à la
Sécurité et monsieur Thierry VALETTE conseiller municipal. Monsieur le Maire remercie
l’U.L.P.I pour son action efficace et continue. Il informe l’assistance qu’au
budget communal 2018, une somme de 1500 à 2000 € sera allouée pour réaliser
(via une entreprise) des travaux souhaités par l’ULPI.
Puis
le
Président, après avoir rappelé brièvement
les débuts incendies de l’été hors de
notre commune, a donné la parole aux
délégués pour la présentation des rapports
d’activités et financier 2016-2017.
1)
Rapport
d’activités
1-1) Chantiers réalisés lors de la
campagne 2016-2017 : présenté par Daniel BLIN.
Dix
chantiers de débroussaillement ont été réalisés pendant cette période, 9 en
week-end et 1 en semaine. Deux matinées ont du être annulées pour cause de
pluie.
1-2)
Surveillance et vigilance : présenté par Patrick Porcheron.
Comme
les années précédentes entre le 15 juin
et le 15 septembre des vigilances journalières et des rondes ont été
faites par de nombreux volontaires, en complément du dispositif départemental
de surveillance incendie. Notre action a pour but avant tout de marquer notre
présence sur le périmètre sensible de Langlade afin de dissuader et donner
l’alerte rapidement.
2)
Rapport
financier (bilan 2017) présenté par Patrick PORCHERON.
Le nombre de cotisants (123) en 2017 est en nette
augmentation (96 en 2016) grâce à la mobilisation des responsables de
quartiers et à l’action du trésorier.
Les dons ont augmenté avec une
recette supérieure à notre attente.
Pour les dépenses, on observe un coup
d’entretien en hausse sur le matériel le plus ancien.
Investissement : remplacement d’une
tronçonneuse.
La subvention communale reçue en août a
été positionnée pour le remplacement éventuel de matériel en 2017.
3)
Rapport matériel présenté par
Patrick PORCHERON.
Qté |
|
Désignation Matériel |
Modèle |
Marque |
Année |
|
1 |
Remorque ATAS Bachée 1
essieu PV 280 Kg PTAC 500 Kg |
VF 9 UT020010626103 |
ATAS |
2011 |
aménagée en 2013 |
1 |
Débroussailleuse
auto-tractée |
RL 1400 Diff |
Roques et Lecoeur |
2013 |
|
1 |
Débroussailleuse
auto-tractée |
|
PUBERT |
1997 |
|
1 |
Débroussailleuse à Main |
BG 420 T |
Oléo-Mac |
2012 |
|
1 |
Débroussailleuse à Main |
BG 420 T |
Oléo-Mac |
2013 |
|
1 |
Débroussailleuse à Main |
BC 430TL |
Oléo-Mac |
2015 |
|
1 |
Tronçonneuse |
GS 410 CX |
Oléo-Mac |
2012 |
|
1 |
Tronçonneuse |
GS 440 |
Oléo-Mac |
2016 |
|
1 |
Tronçonneuse |
GS 350 C |
Oléo-Mac |
2016 |
|
1 |
Ebrancheuse |
932C |
Oléo-Mac |
2011 |
|
1 |
Ebrancheuse |
932C |
Oléo-Mac |
2012 |
|
1 |
Perche ébrancheuse |
EP 120 EF |
Oléo-Mac |
2012 |
|
Globalement,
le matériel mécanique est récent. Il est régulièrement révisé et entretenu.Une
tronçonneuse de 1995 été remplacée en 2016 par une plus puissante.Hormis la
débroussailleuse autotractée « Pubert » qui date de 1997, le
matériel a moins de 8 ans.
A cette liste
s’ajoutent différents petits matériel et accessoires de sécurité y/c
une pharmacie.
4)
Rapport moral : présenté
par Michel DELAY
En
préambule et par fidélité à la tradition de la longue histoire de l’U.L.P.I, je
me dois de remercier tous les acteurs qui de prêt ou de loin contribuent à ce
que notre association vive, fonctionne et réalise ses objectifs.
Ce
rapport cette année abordera les aspects du risque incendie, la réglementation
légale et la place de l’U.L.P.I.
Quelques
éléments de bilan et de réflexion : cette année encore des hectares de
végétation ont disparu dans des sinistres énormes, avec des conséquences
matérielles et humaines dramatiques (Californie, Espagne, Portugal, Pologne et
bien d’autres). Les médias au plus fort de l’évènement en ont fait la une.
-
Quel impact sur l’environnement ? Des milliers d’hectares brûlés emportant
faune et flore.
-
Quel impact sur les personnes et les biens ?
-
Quel coût pour les interventions de sauvetage ? Des chiffres ont été
annoncés : des millions de dollars, voire des milliards, peu importe. Les
gouvernements, les assurances vont payer ….
Sans
porter de jugement au vu de ces catastrophes et des informations que nous en
avons eues, il semble bien que la vigilance et la prévention ne soient pas une
priorité pour ces pays, tout comme les dispositifs mis en œuvre pour la
protection du risque incendie sont certainement insuffisants voire inexistants
(urbanisation, matériaux de construction, piste D.F.C.I , coupure de
combustible etc….).
Chez
nous, au cours de cet été, nous avons connu de fortes sécheresses favorables au
risque incendie.
Un
bilan au 7 septembre (source Prométhée, Midi Libre région du 6 septembre) fait
apparaitre des résultats provisoires, la saison n’étant pas terminée :
Il
y a eu deux fois moins d’hectares ravagés par les flammes dans le Languedoc
Roussillon : 4335 ha en 2016, 2127 ha en 2017, mais une activité plus importante avec des départs plus nombreux et une
mobilisation totale des secours.
Dans
le Gard, le bilan est moins bon qu’en 2016, en terme surfaces ravagée : 62
ha en 2016 pour 268 ha en 2017. « On
a eu 60 départs de feu de forêt et 507
autres départs de feu de végétation, parfois 20
à 30 par jour, l’activité a été
beaucoup plus soutenue cet été ».
Ça
n’arrive pas qu’aux autres : sur Langlade, 4 départs de feu ont été
répertoriés à ce jour :
-
Un
accidentel. Un engin agricole a entièrement brulé, l’intervention rapide des
pompiers a stoppé toute propagation à la végétation proche.
-
Deux
ont été allumés par deux inconscients irresponsables, ces 2 feux ont été
rapidement circonscrits. L’un deux a été heureusement circonscrit grâce à
l’intervention d’Alexandre Marion de Solorgues et de son collègue Sébastien
Bronzoni, alors qu’ils circulaient sur la route de Bernis. La présence
d’esprit de ces deux personnes a permis
d’éviter des conséquences qui auraient pu être dramatiques, compte tenu du
vent, de la localisation au milieu de la végétation de garrigue propice à une
propagation rapide et de la proximité des habitations. Nous remercions les
intervenants et saluons leur détermination et leur sens civique.
-
Le
quatrième allumé à quelques dizaines de mètres d’une habitation.
Nous
avons certainement eu de la chance. Ce bilan partiel montre de toute évidence
l’importance du risque incendie : sa réalité, sa variété, sa quantité, sa
rapidité, ses origines et ses conséquences.
La
qualité de notre dispositif d’intervention, l’importance des moyens humains et
matériels, le sens civique des citoyens ont permis de contenir les feux chez
nous peut être plus que dans d’autres pays, mais là n’est pas la question :
le nombre de départ de feux toujours croissant reste le problème n° 1 auquel
nous sommes confrontés.
La
présence des secours sur le terrain : pompiers, équipe D.F.C.I
(camionnettes jaunes) qui patrouillent sur les massifs à risque et leur
rapidité d’intervention, malgré le nombre important des départs, ont permis de
contenir pour la plupart le développement des feux.
Ces
quelques éléments d’information, de bilan, d’analyse et de réflexion que je
viens de vous soumettre confirment et renforcent notre conviction que l’U.L.P.I
doit poursuivre activement et sans relâche son action d’information, de
sensibilisation et d’actions sur le terrain.
La
prévention du risque doit se matérialiser dans tous ses aspects :
surveillance, vigilance, débroussaillement, dispositif piste D.F.C.I. à
l’échelle du massif, plan communal P.P.R.I.F, coupe-feu arboré, interface forêt
habitat autour du village par les chantiers que nous organisons, coupure de
combustibles, remise en culture.
L’ensemble
de ce dispositif est la solution majeure et déterminante contre le risque
incendie pour la sauvegarde de notre environnement forestier.
Pour
nous citoyens de Langlade et membres de l’U.L.P.I, la prévention du risque
incendie fait partie et doit faire partie de notre culture.
Par
contre si notre culture du risque venait à faiblir, la réglementation et les
arrêtés du préfet sont là pour nous rappeler nos obligations. A ce titre je
voudrais rappeler deux communications récentes du préfet :
-
la première par courrier conjointement avec le maire en date du 22/03/2017
ayant pour objet : Application des obligations légales de
débroussaillement….
« Votre mairie et la préfecture du Gard
engagent un plan d’action pour contrôler l’application effective des obligations
légales de débroussaillement…» suivi des indications essentielles et
du site à consulter. Ce courrier nominatif a été adressé aux riverains des zones boisées non
constructibles, environ 150 habitations, et pour toute la population par les
moyens de communication habituelle de la commune.
-
la deuxième en date du 15 septembre dernier :
« En raison d’absence de précipitations
notables depuis plusieurs semaines, d’un dessèchement exceptionnel de la végétation…
malgré la baisse des températures, des feux de grande ampleur restent possibles
».
Le
préfet du Gard a décidé de prolonger
l’arrêté d’interdiction d’emploi du
feu à l’intérieur et jusqu’à une
distance de 200 mètres des bois, forêts, garrigues, jusqu’au 15 Octobre inclus.
Il rappelle que cette interdiction
concerne l’emploi du feu sous toutes ses formes : barbecue, cigarettes,
feu de camp, écobuage, brûlage de résidus issus de débroussaillage
réglementaire, lâché de lanternes célestes…. ainsi que le brulage des déchets
verts de parcs et jardins qui demeurent interdits en tout temps.
En cas d’incendie, même involontaire, des amendes
pouvant aller jusqu’à 150 000 €. Des peines d’emprisonnement peuvent également
être prononcées et des dommages et intérêts réclamés.
Les
rapports précédents tant financier que d’activités ont montré notre
détermination et notre engagement dans cette action permanente contre le risque
incendie bien présent sur notre commune. Nous y sommes confrontés :
- par raison comme le définit le texte
de la réunion constitutive de l’association du 20 janvier 1984 : conscients
des risques que font peser sur les habitants et leur environnement, les menaces
d’incendies sans cesse grandissantes… une centaine de personnes crée
l’Union Langladoise de Protection Incendie.
-
par obligation si votre habitation se situe à moins de 200 mètres d’un massif
boisé, vous devez effectuer les obligations légales de débroussaillement, et 50
mètres au-delà de la construction si vous êtes riverain d’un espace boisé,
landes ou garrigue
-
par choix sauvegarder notre environnement forestier patrimoine commun qui
caractérise notre village.
L’U.L.P.I
existe et a toujours construit son action à partir de ces 3 concepts.
Dans
le cadre des différentes actions que nous menons, une part importante est
consacrée aux chantiers de débroussaillement à la périphérie du village, en
bordure des zones à risque, soit environ 5 km, en bordure des zones boisées.
Ces chantiers ont pour objectif stratégique d’assurer la continuité de
débroussaillement tout autour du village afin de créer une zone tampon, un
coupe-feu arboré, une coupure de combustible, une interface forêt habitat…peu
importe l’appellation.
Il
s’agit d’un dispositif de protection des habitations et de rupture avec
l’environnement forestier, sans que celui-ci dénature le paysage voire le mette
en valeur. Cet objectif s’est matérialisé plus précisément depuis 2008 par nos
actions sur le terrain et structuré dans sa conception tout au long de nos
différentes assemblées générales en plein accord avec les buts de notre
association. Je cite : Renforcer les mesures de prévention et de
protection contre les incendies en initiant et réalisant toutes actions jugées
utiles. Proposer et réaliser tous projets visant à sauvegarder et embellir
notre cadre de vie.
Dans
les contacts que nous avons avec les riverains, qui ont une obligation
spécifique « débroussailler chez autrui » des interrogations, des
réflexions, des demandes particulières nous sont adressées. Qui peuvent se
traduire par : qui décide des chantiers, de leurs localisations, pourquoi
et comment ? Il y a lieu de les prendre en compte et d’y répondre le plus
précisément possible.
Une
partie des réponses est dans l’histoire de l’organisation de ces travaux depuis
34 ans bientôt. Les habitants de Langlade ont pris conscience des risques et se
sont pris en charge.
Des
chantiers ont été organisés et réalisés ponctuellement par quartier. Certains
se sont attelés à la tâche seul dans leur coin, d’autres ont demandé à
l’U.L.P.I d’organiser un chantier avec leurs voisins, ou l’ont organisé et
réalisé tout seul avec leurs voisins et le matériel de l’U.L.P.I. D’autres
se sont fait aider par leurs amis ou réalisé en famille. Certains ont payé des
entreprises pour faire les travaux, ou encore certains ont demandé à la
municipalité précédente de leur donner un coup de main (gyrobroyeur,
tractopelle).
D’autres
entretiennent chaque année suivant leur obligation, ou pas, ou le font faire à
une entreprise, certains n’ont rien fait.
Beaucoup
ont fait l’objet de chantier de quartier à l’initiative des délégués, tel que
prévu par les statuts de notre association.
Alors
oui tout simplement, nous prenons en compte la réalité de toutes ces
situations, sans juger, sans apriori, objectivement et sereinement.
Aujourd’hui
l’organisation des chantiers de débroussaillement ou de maintenance fait la
liaison avec toutes ses obligations pour former un dispositif continu autour du village que nous appelons interface
forêt habitat.
Pour
ce faire, chaque année nous ajustons nos chantiers pour assurer la continuité
et la maintenance sur le parcours défini au plan d’ensemble. Nous étudions les
demandes des délégués de quartier proposées en Comité de Direction. Ces
propositions sont étudiées sur le terrain par une commission du bureau qui
vérifie l’importance du risque, les points stratégiques (accès densité etc) sa
localisation dans le dispositif de prévention global de la commune, dont j’ai
parlé précédemment.
Les
propositions sont faites en Assemblée Générale qui décide du programme annuel.
Elles sont mises en œuvre par le Comité de Direction exécutif de l’association.
Pas
de parti pris, pas de passe droit. Nous sommes des bénévoles au service d’un
seul objectif : protéger notre environnement.
L’U.L.P.I
est là dans un rôle et une mission d’intérêt collectif.
En conclusion L’U.L.P.I soutient et accompagne
l’ensemble des obligataires au
débroussaillement réglementaire privé ou public (pistes D.F.C.I, P.P.R.I.F)
pour un projet global de prévention des risques incendie, de protection et de
remise en valeur de notre environnement paysagé commun.
5)
Vote des
rapports
Les
rapports d’activités et le rapport moral, sont
votés à l’unanimité et sans remarque par le public présent.
6)
Election des membres
au Comité de Direction
13
personnes sont élues ou réélues au Comité
de Direction : BOURGOIN Hélène, BOUZANQUET
Mireille, BRUNELIERE Camille (*), ALLA J. Louis, BLIN Daniel, DELAY
Michel, DEVESA Gérard (*), GOLDZSTEIN J.
Pierre, HERAULT Philippe, LAPEYRE Robert (*), MONFORTE Alain (*), PASCAL Alain
(*), PORCHERON Patrick.
(*) :
ces 5 personnes démissionnaires au titre des 1/3 renouvelable, se sont
représentées.
Le
Comité de Direction se réunira le 11 octobre 2017
à 20h00 pour procéder à l’élection
des membres du bureau, fixer les dates des prochains chantiers et
débattre de
divers points.
7)
Projet de
chantiers 2017/2018 présentation
par Daniel BLIN
10
chantiers (dont 1 en semaine) ont été proposés à l’assemblée. Le premier
chantier programmé se tiendra au quartier du Vignaud III (Puits Neuf) les 21 et
22 octobre prochains. Lors du débat, 2 suggestions supplémentaires ont été
faites : elles seront prises en compte dans le cadre de nos actions
communes avec la Mairie. Le calendrier de la prochaine campagne sera prochainement
consulté sur notre site : http://www.ulpi-gard.fr
8)
Orientations
budgétaires 2018
|
|
|
RECETTES |
PREVISIONS |
|
|
Dons |
|
|
900,00 € |
|
|
Cotisations Adhérents |
|
900,00 € |
|
|
|
|
|
|
|
|
Subvention Mairie |
|
700,00 € |
|
|
Intérêt CSL |
|
|
1,50 € |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total Recettes |
2 501,50 € |
|
|
|
|
|
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|
|
|
DEPENSES |
|
|
|
|
|
|
|
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|
Frais de Fonctionnement |
|
|
|
Administratif |
|
|
|
|
Fournitures Bureau, Photocop timbres …. |
200,00 € |
|
|
Assurances |
|
210,00 € |
|
|
Réception, évenementiel (AG, Chantier de clôture) |
250,00 € |
|
|
Animations Chantiers. |
|
350,00 € |
|
|
Conseil juridique |
|
2 000,00 € |
|
|
Levée de
Provisions 2017 conseil juridique |
-2 000,00 € |
|
|
Matériel |
|
|
|
|
|
Entretien courant |
|
700,00 € |
|
|
Carburant, Huile |
|
350,00 € |
|
|
Petit Matériel et sécurité |
350,00 € |
|
|
|
|
|
|
|
|
Total Fonctionnement |
2 410,00 € |
|
|
|
|
|
|
|
|
Investissements |
|
|
|
|
Levée de Provisions 2017 |
|
-1 130,00 € |
|
|
Achat
tronçonneuse Débroussailleuse et accessoires |
900,00 € |
|
|
Achat équipement et sécurité |
300,00 € |
|
|
|
|
|
|
|
|
Total Investissement |
70,00 € |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total Dépenses |
2 480,00 € |
|
SOLDE SAISON 2018 |
21,50 € |
|
Report exercice précédent
(2017) |
33,67 € |
|
SOLDE APRES EXERCICE 2018 * |
55,17 € |
On table sur un
prévisionnel recette
sensiblement équivalent à l’exercice 2017. Le budget entretien est revu à la
hausse. Investissements : le non réalisé
en 2017
est reprogrammé pour 2018.
Le Président reprend la parole pour
informer de l’installation d’un troupeau de 150 brebis sur la coupure de
combustible en remplacement de l’élevage de chèvres.
Il remercie la mairie pour les travaux
engagés cette année sur la forêt communale. Il rappelle les actions amenées
pour la réouverture de la piste DFCI 132 et l’entretien des pistes. Rappelons
la mise en place de portiques pour éviter les dépôts sauvages en garrigue.
Le Président lève la séance en remerciant les
participants pour leurs remarques et interventions constructives. Les
participants sont invités à partager le verre de l’amitié.
Le Président
Le
Secrétaire
Michel DELAY
Alain MONFORTE